Combien coûte réellement un avocat en France ?
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La vie en communauté exige certaines règles de bienséance, qu'il est important d'appliquer, afin de ne pas être mal jugé en société, et de préserver de bonnes relations avec les autres . Votre façon de vous adresser à une personne est différente selon le degré de relation que vous entretenez avec cette dernière et suivant le contexte.
La communication écrite comporte plus de règles que la communication verbale. Cela est notamment le cas lorsque vous adressez des lettres à des collègues, des supérieurs, ou à une personne travaillant dans le domaine du droit, par exemple.
Il existe certaines spécificités qu'il est important de maîtriser lorsqu'on adresse une formule de politesse à un avocat . Pour respecter les règles de bienséances, il faut savoir où et quand placer les marques de politesses pour chaque cas de figure : rencontre directe, appel téléphonique, courrier électronique ou sous forme de missive.
Souvent, lorsqu'on envoie des courriers électroniques , nous sommes moins formels que lorsque nous envoyons des lettres. La formule de politesse dans un e-mail est moins sophistiquée. Cependant, lorsqu'on adresse un e-mail à un professionnel du droit, il convient de respecter les règles de bienséances, par l'emploi de marques de courtoisie, notamment au début et à la fin de la conversation.
Lorsqu'on adresse un e-mail à une personne travaillant dans le domaine du droit, qu'il s'agisse d'un juge, d'un procureur ou d'un huissier par exemple, la formulation de la salutation doit contenir le titre de la personne. « Maître » pour les avocats, indépendamment du fait, qu'ils soient hommes ou femmes. « Madame l'Avocate ou Monsieur l'Avocat » est tolérée, mais il est préférable d'utiliser le titre du professionnel de droit. Il vaut mieux ne pas utiliser « Monsieur » ou « Madame » seul, mais de toujours l'accompagner du titre. Par exemple « Madame le procureur », ou « Madame l'huissier de justice ».
Pour saluer votre interlocuteur, vous pouvez écrire « cher Maître », seulement si vous êtes en relation depuis un certain temps avec votre avoué. Autrement, « bonjour Maître », ou « bonjour Madame/Monsieur » sera plus adéquat.
Si votre e-mail fait suite à plusieurs autres dans la même journée, il n'est pas nécessaire de reformuler les expressions de courtoisie à chaque fois en fin du message. Un « Merçi Maître » ou « Cordialement » seront suffisants pour aller directement à l'essentiel.
Les termes trop familiers comme : « salut » ou « à plus tard », « bonjour », sont à éviter si votre message est d'ordre professionnel. Il vaut mieux conserver un certain protocole même si le destinataire est un ami. Pour garantir que votre communication écrite respecte les normes grammaticales et stylistiques, vous pouvez utiliser un outil de correction en ligne pour vous aider.

Une missive à un représentant du droit a souvent un caractère officiel. À ce titre, il est incontournable de savoir utiliser la formule de politesse lettre adéquate. Il faut savoir que chaque cas est différent. Vous n'utilisez pas les mêmes expressions pour un premier contact et pour un avoué qui suit déjà votre affaire. Utiliser une mauvaise formulation peut-être mal interprétée dans certains cas.
Pour commencer, un « bonjour » suivi du titre du professionnel du droit ou suivi de Madame/Monsieur avec le titre est d'usage avant d'aller dans les détails.
À la fin du message, d'autres marques de courtoisies s'imposent. Il est préférable d'éviter la formulation « l'assurance de mes sentiments distingués », car elle est plutôt réservée à une personne proche. Finissez plutôt par une formulation plus diplomate « Je vous prie d'agréer, Maître, mes respectueuses salutations », « Je vous prie d'agréer cher/chère Maître l'expression de mes meilleures salutations » ou « je vous prie d'agréer, Monsieur ou Madame le Juge/Monsieur ou Madame le Procureur, l'expression de ma plus haute considération ».
Pour les cas où cela est pertinent, il ne faut pas oublier les remerciements. Vous pouvez utiliser une formulation simple de type : « Avec mes remerciements, Maître », ou « Je vous remercie, Maître, pour votre assistance lors de cet affaire ».
On n'utilise pas le même type de formule politesse à un avocat lorsqu'il s'agit de l'expression orale et de l'expression écrite. Néanmoins, il faut toujours respecter les règles de bienséances et faire preuve de courtoisie en toutes circonstances.
Pour commencer, si vous êtes à l'origine de l'appel, et que vous contactez le professionnel pour la première fois, il est d'usage de commencer par une salutation, « Bonjour Maître », avant de vous présenter et de commencer la discussion. Il n'est pas considéré comme un manque de courtoisie de commencer la conversation avec « bonjour Madame/Monsieur », surtout si vous n'êtes pas sûr que la personne qui a décroché est vraiment l'intéressé ou si vous passez par un standard téléphonique.
Pour finir la discussion, il n'est pas nécessaire d'être trop formel. On n'utilise pas les mêmes formes de courtoisie que lorsqu'il s'agit d'une lettre. Au terme de la conversation, si cela est à votre initiative, il est d'usage de remercier votre interlocuteur pour le temps qu'il vous a consacré : « Je vous remercie beaucoup Maître » ou « je vous remercie pour les informations, Maître » suivi d'un simple « au revoir Maître » conviendront parfaitement.

Lors d'une rencontre en personne, il est primordial de faire preuve de courtoisie. Les termes à utiliser ne seront pas toujours les mêmes selon que vous discutiez en public ou dans un cabinet d'avocats. Ils seront aussi différents si l'intéressé travaille pour vous, s'il est de la partie adverse ou pour une première approche.
Bien suivre les règles de courtoisie vous permet de garder une bonne relation avec votre représentant :
Le savoir-vivre et les règles de courtoisie permettent de faciliter les relations entre les personnes, les collègues, les collaborateurs. Les règles de bienséances sont différentes selon les personnes à qui vous vous adressez et le contexte.
Les relations avec les avocats sont considérées comme des relations professionnelles. Un certain protocole s'y rattache, et respecter ses règles permet de faciliter la collaboration et de créer un environnement de travail sain et respectueux de chacun.
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